CentralPay vous ouvre des comptes de monnaie électronique et facilite l’échange de valeurs,
en toute conformité
Fluidifiez
les échanges de valeurSécurisez
les flux de vos utilisateursMaîtrisez
la réglementation en vigueurLa monnaie électronique est exclusivement émise et gérée par les Établissements de Monnaie Électronique agréés par l’ACPR, comme CentralPay.
Chaque dépôt en devise est converti en une contre-valeur électronique, stockée sur un support (carte prépayée, e-wallet…), lui-même adossé à un compte de monnaie électronique.
Cette valeur digitale permet la réalisation de transactions (biens et services) au sein d’un réseau fermé :
Des services financiers exclusivement réservés aux Distributeurs de monnaie électronique
Permettez la création instantanée de comptes anonymes à usage restreint, sans collecte de justificatifs. Idéal pour les plateformes C2C (hors activité spéciale ou financière) souhaitant maximiser la conversion à l’entrée.
Limités à 150 € de solde ou d’encaissement sur 30 jours glissants
Déclenchement automatique de la procédure KYC en cas de dépassement des seuils
Adapté aux marchands individuels (hors personnes morales)
Dans un réseau d’affiliés, de franchisés ou d’indépendants, les valeurs prépayées (cartes cadeaux) ne peuvent être considérées comme du chiffre d’affaires, sous forme d’avoir client. Avec un compte de monnaie électronique, vous restez maître des flux, sans les gérer au quotidien :
Compensation automatique entre points de vente
Traçabilité en temps réel des opérations
Egalisation des charges entre émetteur du support et bénéficiaire
Simplifiez la gestion de monnaie électronique, sans compromis sur la conformité et l’efficacité opérationnelle
Définissez une date de disponibilité des fonds pour contrôler l’accès aux sommes collectées et ajustez la fréquence des reversements afin de limiter l’exposition aux contestations et aux fraudes.
Chaque opération est tracée et sécurisée. Nos protocoles de chiffrement et de supervision temps réel garantissent un niveau de sécurité élevé, tout en maintenant une expérience fluide.
CentralPay est agréé Établissement de Monnaie Électronique par l’ACPR. Vous bénéficiez ainsi d’un cadre conforme aux exigences en matière de sécurité, traçabilité et intégrité des flux.
La monnaie électronique se définit avant tout comme un prépaiement suivi d’un stockage de monnaie dite "traditionnelle" sur un autre support. Il n'y a donc pas au sens propre création de monnaie mais émission d'un instrument dématérialisé de la monnaie traditionnelle permettant de faciliter les transactions dans une économie numérique.
La monnaie électronique n'est pas, en soi, une nouvelle sorte de monnaie qui créerait une troisième catégorie après la monnaie fiduciaire et scripturale. C’est un nouvel instrument de paiement scriptural permettant de réaliser une opération de paiement.
La monnaie électronique permet principalement d’adresser deux contextes d’usages :
Exemple : achat d’une carte cadeau, chargement d’un portefeuille digital utilisable dans une marketplace ou un réseau de commerçants…
Exemple : vente d’un produit ou service sur une plateforme C2C, règlement d’un remboursement ou d’un avoir…
La monnaie électronique est définie comme « une valeur monétaire qui est stockée sous une forme électronique, y compris magnétique, représentant une créance sur l'émetteur, qui est émise contre la remise de fonds aux fins d'opérations de paiement définies à l'article L. 133-3 [du CMF] et qui est acceptée par une personne physique ou morale autre que l'émetteur de monnaie électronique » (Article L. 315-1, I CMF).
En effet, depuis la « Directive Monnaie Electronique 1 » de mars 2000, la monnaie électronique constitue un instrument de paiement issu de la pratique des échanges dématérialisés.
A son origine peu utilisée, son usage et périmètre fut renforcé par la Directive Monnaie Electronique 2 du 16 septembre 2009 puis transposée en France en janvier 2013.
La monnaie électronique étant régie par le code monétaire & financier, elle peut uniquement être émise sous la supervision d’établissements de Crédit ou de Monnaie Electronique agréés par l’ACPR (Autorité de contrôle prudentiel et de résolution de la Banque de France).
La monnaie électronique se définit avant tout comme un prépaiement suivi d’un stockage de monnaie dite “traditionnelle” sur un autre support. Il n’y a donc pas au sens propre création de monnaie mais émission d’un instrument dématérialisé de la monnaie traditionnelle permettant de faciliter les transactions dans une économie numérique.
La monnaie électronique n’est pas, en soi, une nouvelle sorte de monnaie qui créerait une troisième catégorie après la monnaie fiduciaire et scripturale. C’est un nouvel instrument de paiement scriptural permettant de réaliser une opération de paiement.
La monnaie électronique permet principalement d’adresser deux contextes d’usages :
Exemple : achat d’une carte cadeau, chargement d’un portefeuille digital utilisable dans une marketplace ou un réseau de commerçants…
Exemple : vente d’un produit ou service sur une plateforme C2C, règlement d’un remboursement ou d’un avoir…
La monnaie électronique est définie comme « une valeur monétaire qui est stockée sous une forme électronique, y compris magnétique, représentant une créance sur l’émetteur, qui est émise contre la remise de fonds aux fins d’opérations de paiement définies à l’article L. 133-3 [du CMF] et qui est acceptée par une personne physique ou morale autre que l’émetteur de monnaie électronique » (Article L. 315-1, I CMF).
En effet, depuis la « Directive Monnaie Electronique 1 » de mars 2000, la monnaie électronique constitue un instrument de paiement issu de la pratique des échanges dématérialisés.
A son origine peu utilisée, son usage et périmètre fut renforcé par la Directive Monnaie Electronique 2 du 16 septembre 2009 puis transposée en France en janvier 2013.
La monnaie électronique étant régie par le code monétaire & financier, elle peut uniquement être émise sous la supervision d’établissements de Crédit ou de Monnaie Electronique agréés par l’ACPR (Autorité de contrôle prudentiel et de résolution de la Banque de France).